Comme à chaque échéance électorale, les critiques fleurissent sur les sondages. On incrimine comme à l’accoutumé les méthodes de redressement utilisées ou bien encore la place trop importante prise par les sondages dans les campagnes et dans le choix stratégique de certains candidats.
Jérôme Fourquet, Directeur adjoint du département Opinion publique de l'IFOP, répond aux questions et critiques. Télécharger la note, ici
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